jeudi, 06 février 2025 11:09

CSEE Centraux - SSCT Pôle Ouest - Compte-rendu de la réunion ordinaire du 3 février 2024

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CSEE Centraux - SSCT Pôle Ouest - Compte-rendu de la réunion ordinaire du 1er trimestre 2025 - 3 février 2025

 

 L'ordre du jour et les documents sont disponibles ici

1) Information trimestrielle sur les accidents du travail

3) Points liés à la santé au travail

5) Points liés à l’exploitation immobilière

a. Retour d’expérience sur l’exercice de reconnaissance des cheminements de Basalte du 11 Décembre 2024

b. Point sur la zone fumeur (cendrier) entre les sorties de parking et les immeubles

c. Procédure de réchauffement des tours après longue coupure ? (ex : sur la Tour Granite suite à la fermeture de l’immeuble à Noël)

d. Point de suivi sur la présence de nuisibles dans les locaux de notre périmètre

e. Questions sur la gestion des déchets électroniques

f. Granite : Point sur les travaux et l’arrivée de FRANFINANCE. Comment est-il possible que des salariés de FRANFINANCE se trouvent dans des locaux en travaux (G06 à G09) alors que les ascenseurs ne fonctionnaient pas ?

g. Y a-t-il une information des salariés lors des tests de groupe électrogènes ?

Questions diverses IMM

6) Questions diverses

a. Quelle est la formation des agents de sécurité ?

Réaménagement des espaces de travail Alicante et libération de l’étage 27

Télétravail renforcé des salariés aidants

 

 

1) Information trimestrielle sur les accidents du travail

La direction a débuté les échanges en présentant sa nouvelle approche concernant la gestion des accidents du travail (AT).

Elle a reconnu les lacunes de la gestion précédente et a opté pour une nouvelle méthode plus individualisée pour favoriser une communication plus fluide en commission.

Elle a admis que certains échanges relatifs aux AT n’avaient pas été concluants et a décidé de traiter chaque situation de manière spécifique. 

Elle mentionne que sur les 30 accidents du travail (AT) signalés, 16 sont des accidents de trajet et 14 se sont produits sur le lieu de travail.

La CGT a insisté sur la nécessité de mieux gérer les incidents survenus en fin de journée, particulièrement les vendredis soirs, et a exprimé des inquiétudes concernant les agressions verbales ainsi que la sécurité des représentants du personnel. 

La direction s’est engagée à renforcer les mesures de prévention pour répondre à ces enjeux.

Toutefois, certaines questions demeurent sans réponse, notamment au sein du service SEGL.

Cas N°12 : En octobre 2023, un salarié du service SEGL a tenté de mettre fin à ses jours, mais la victime n’a signalé l’événement qu’en décembre 2024, après la notification de son licenciement. 

La CGT a pointé du doigt la gestion des entretiens difficiles, souvent planifiés en fin de journée, et a demandé une évaluation des conditions de travail dans ce service, où plusieurs alertes ont été relevées.

La direction a pris acte de ces préoccupations et s’est engagée à promouvoir des pratiques plus adaptées.

La CGT a également interrogé la direction sur les conditions de travail de la salariée concernée, ses relations avec sa hiérarchie et sur le soutien psychologique dont elle aurait pu bénéficier. 

La direction a indiqué qu’elle n’avait été informée des difficultés que plus d’un an après les faits et a promis d’apporter des réponses plus précises.

Cas N°27 : La CGT a alerté sur la santé mentale des ressources humaines et des représentants du personnel, soulignant la charge psychologique liée à leurs fonctions. La direction a reconnu la particularité de ces situations et s’est engagée à rappeler les bonnes pratiques. Cependant, la question des risques psychosociaux (RPS) pour les élus reste en suspens.

Enfin, la CGT a demandé des mesures pour assurer la sécurité des femmes travaillant tard, notamment en ce qui concerne leur transport. La direction a pris note de cette demande et s’est engagée à y apporter une réponse dans les meilleurs délais.

3) Points liés à la santé au travail

Lors de ce point sur la santé au travail, différents sujets ont été aussi abordés : 

Le premier concerne la vaccination contre la grippe.  La médecine du travail nous informe qu’il y a eu 1700 vaccins commandés et que 1687 ont été administrés.  Il n’est plus temps de se faire vacciner puisque nous sommes dans l’épidémie.

Le second point concerne les ateliers sur la santé mentale annoncés lors d’une réunion précédente.  A ce jour, trois médecins vont suivre la formation premier secours en santé mentale.  Ensuite, il faudra étudier la déclinaison possible en interne avec les contraintes liées à notre organisation (temps limité pour faire la formation par exemple).  La page sur le TDAH sera bien à jour pour le 12 juin.

Le troisième point est sur le recrutement de médecins et d’infirmiers. La médecine du travail y travaille régulièrement puisque le marché est tendu.  Le nombre de médecins du travail sur le marché de l’emploi ne permet pas de satisfaire aux obligations légales de nos employeurs.  La CGT a demandé de voir avec le syndicat de la Direction (MEDEF) pour lever les numerus clausus afin de diminuer la tension sur ce métier.  Un médecin devrait arriver durant ce premier semestre et un poste de médecin est encore vacant.  Concernant l’infirmerie, il y a deux recrutements en cours.

Le quatrième point concerne l’alerte levée en CSE sur les accidents psychologiques.  

La Direction nous répond qu’ils n’ont pas vu de cause commune.  La CGT demande à traiter le sujet globalement, c’est par des petites actions que cela devrait pouvoir bouger.  Par exemple, Empreinte Humaine organise des ateliers sur le burnout et des mesures collectives sont proposées par ses soins.

La CGT profite de l’évocation des accidents psychologiques et de la mise à jour du DUER pour alerter la direction sur différents points.

  • Les accidents physiques qui ont en fait une origine psychologique.  Une personne qui se prend les pieds dans les fils de l’ordinateur c’est ou bien un câble malencontreusement situé ou bien un énervement qui fait que la chute survient.  Il y a lieu de prévenir ces accidents de la manière la plus appropriée et en les traitant à la source.
  • La dégradation des notes dans certains secteurs sur les évaluations.  Certains ont reçu des instructions, d’autres pas.  Selon l'arrêt France Telecom, "il est d'usage de parler de 'harcèlement moral institutionnel' lorsque des dirigeants déploient une politique d'entreprise qui, en connaissance de cause, conduit à une dégradation des conditions de travail de tout ou partie de leurs salariés.  Il doit s'agir d'une dégradation susceptible de porter atteinte aux droits et à la dignité des salariés, d'altérer leur santé physique ou mentale ou de compromettre leur avenir professionnel.”  La dégradation volontaire des notes est clairement une compromission de l'avenir professionnel des salariés concernés tel que visé par l’article L1152-1 du code du travail.  Il s'agit bien d'une volonté de la Direction.  Nous sommes donc déjà sur un harcèlement moral institutionnel.  Si on ajoute les réorganisations permanentes, des suppressions de postes voulues par la Direction, on voit la charge de travail augmentée et cela dégrade les conditions de travail des salariés.  La Direction est bien informée de ces problèmes puisque sur les réorganisations, il commence à y avoir des convocations car les gens sont dans l'incertitude suite aux annonces de plans.  Il ne peut s'agir d'une volonté personnelle vu la volonté de la Direction Générale de réorganiser très régulièrement depuis 2010.  L’organisation générale et collective des réorganisations relève de la responsabilité de la Direction et non du manager qui tente d’être transparent dans le déroulé de la réorganisation.  La CGT attire donc grandement l'attention de la Direction sur ce sujet du harcèlement moral institutionnel.  
  • Le phénomène d’emprise est présent dans l’entreprise.  On a déjà le problème avec les bonus où des salariés font tout et n'importe quoi pour leur bonus compte tenu de l'opacité de l'attribution.  La CGT rappelle ses demandes répétées depuis 2010, les engagements non respectés de la Direction sur le sujet et pour terminer, les formes de harcèlements sexuels liés à ces attributions.  Il semblerait qu'à ce jour, certaines personnes sont sous l'emprise d'autres.  Elle rappelle la définition selon le site du Larousse "Relation de domination, de manipulation et de maltraitance, utilisant la violence psychologique (dévalorisation, isolement de l’entourage, contrôle, menaces, etc.), voire la violence physique ou l’abus sexuel, en alternance avec des marques d’affection, ce qui a pour effet de vulnérabiliser une personne (conjoint, par exemple) et de la maintenir dans un état de dépendance psychologique et/ou matérielle."  Des salariés nous alertent que sur instruction d'une tierce personne certaines personnes coupent totalement les ponts avec d'autres.  
  • Empreinte Humaine a organisé un webinair sur le burnout.  Il s’agirait d’un vrai sujet selon eux.  Il y a selon ce cabinet des sources collectives via des causes systémiques comme le risque organisationnel et le risque managérial par exemple.  Différents moyens de prévention existent : éviter l'hyperconnexion, l'équilibre de vie privée, vie professionnelle.
  • Le dernier baromètre s'annonce déjà mauvais pour un quart de l'effectif de SGPM.  D'autres moyens de préventions existent selon Empreinte Humaine :  
    L'exemplarité de la Direction, mettre en place des veilles sur la santé mentale, veiller à la charge de travail, la délégation, la possibilité d'avoir des ressources extérieures pour discuter, avec la possibilité de respecter ses limites, déconstruire l'idéal du super employé mais cela contrevient à l’attribution des bonus et autres parts variables, par contre, il y a un sujet sur la reconnaissance au travail.  Il faut porter une réflexion sérieuse sur "ne pas travailler plus mais travailler mieux" conclura l'intervenante Empreinte Humaine.  La prévention est selon cet organisme primordiale. 

Ces différentes choses doivent interpeller la direction, l’inciter à agir, et mettre à jour le DUER pour éviter que ces risques professionnels ne se produisent.

La médecine confirme l’inquiétude des élus de la commission sur la santé des salariés.  

Avant, ils disposaient encore de quelques marges de manœuvre pour tenter de gérer les situations les plus complexes.  Depuis peu, ces marges disparaissent (par exemple, la bourse des emplois a été purgée et empêche la mobilité).

Le cinquième point est que pour limiter l’hyperconnexion et veiller à la charge de travail, il faut relire l’accord QVCT qui établit les règles en la matière.

Le sixième concerne les mesures d’accompagnement lors de situations complexes.  La Direction nous explique que dans le cadre des réorganisations, il y a un dispositif de gestion des RPS pour les salariés concernés.  C’est présenté en CSE.  

Pour les accidents de travail, en fonction de la gravité, le dispositif pour accompagner le salarié et l’équipe est adaptative.  En cas de décès, pour la partie relation humaine, la direction nous fera un retour ultérieur, concernant la partie administrative, cela est géré comme une cessation de contrat de travail.  

Pour la CGT, il y a quelques subtilités plus complexes comme le plan d’épargne entreprise, l’épargne retraite ou la prévoyance.  

La CGT demande une mise en relation avec l’assistante sociale pour ces sujets mais on devrait en savoir plus lors du retour de la Direction sur le sujet.  Pour les EAS, il y a bien un accompagnement des managers pour réaliser les annonces.  

La formation des managers aux RPS doit au moins répondre en partie à ce point.  La CGT demande à ce que les formations RPS soient dispensées aux managers et aux salariés dans ces situations.  Il faut soutenir les collègues, les équipes.  Nous demandons à ce que des retours d’expériences soient réalisés suite à de tels événements.  

La santé et la sécurité des salariés sont des priorités absolues pour nous élus de la CGT.

5) Points liés à l’exploitation immobilière

a. Retour d’expérience sur l’exercice de reconnaissance des cheminements de Basalte du 11 Décembre 2024

La Direction indique que l’exercice qui a eu lieu à 16h s’est globalement bien passé notamment avec une participation en hausse (350 salariés) par rapport à l’exercice du 1er semestre 2024.

Néanmoins, il a été relevé que certains salariés ne se sentaient pas trop engagés et que les points de rassemblement n’étaient pas suffisamment connus des participants.

Trop de flou, d’approximations : De fait, la CGT demande qu’il y ait un rappel sur les points de ralliement que cela soit lors des exercices ponctuels ou lors des réelles évacuations.

Il y a un seul exercice d’évacuation de prévu par an. Le programme 2025 sera connu lors de la CSSCT PO du mois de mai.

b. Point sur la zone fumeur (cendrier) entre les sorties de parking et les immeubles

Pour accéder aux parkings, il faut circuler parmi les fumeurs. Par ailleurs, côté Chassagne, au-dessus de la zone occupée par les fumeurs, il y a une prise d’air pour les tours. L’équipe CGT s’interroge sur l’impact des filtres à air, la récurrence de leur changement et la possibilité de déplacer les fumeurs.

Il nous a été répondu que les filtres sont changés lors de campagnes annuelles et que des filtres à charbon sont mis pour atténuer les odeurs de tabac notamment dans les salles de réunion DO1.

Les mégots sont récupérés et comptabilisés. Le chiffre est reporté par le prestataire en charge des cendriers dans un rapport annuel.

Sur la question que les cendriers ne puissent pas être déplacés, éloignés des abords des tours du fait qu’il ne s’agisse plus de la propriété de SG mais de l’espace public, la CGT demande que SG en tant qu’employeur RSE s’empare du sujet et dans un cadre écologique, environnemental et de préservation de la santé de ses salariés se rapproche de l’organisme public en charge du sujet. IMM se renseigne si c’est déjà le cas.

Par ailleurs, la CGT demande que le sujet du tabac soit porté par la médecine du travail au-delà du mois sans tabac.

c. Procédure de réchauffement des tours après longue coupure ? (ex : sur la Tour Granite suite à la fermeture de l’immeuble à Noël)

IMM nous informe que les relances du chauffage se font en semaine entre 5h et 7h afin que les 19°c soient atteints à l’arrivée des salariés vers 9h. Après un week-end, IMM, en fonction de la météo (froid et grand froid), programme la relance du chauffage vers 3h.

A l’occasion de cet échange, nous apprenons qu’en cas de vague de froid, il n’est pas interdit de laisser les installations tourner et que par ailleurs une relance automatique des installations est programmée pour qu’il ne fasse pas moins de 15°c dans les tours.

De plus, une dizaine de tickets ouverts pour des questions de chauffage ce n’est pas pour IMM le reflet d’un problème réel et d’ampleur.

Par conséquent, toute personne qui a froid fait un ticket et il ne faut pas se dire qu’un ticket par service est suffisant.

Pour que IMM prenne en compte des demandes comme incident, il faut faire un maximum de tickets voire les rouvrir. Ce sont ces réouvertures que IMM suit.

Par conséquent, la CGT demande dans la gestion des périodes longues d’arrêt de chauffage que la possibilité que ce dernier soit remis en marche dès le dimanche soit étudiée et que IMM fasse un bilan post arrêt lors de la reprise.

d. Point de suivi sur la présence de nuisibles dans les locaux de notre périmètre

Il a été dénombré, sur Basalte, 2 souris dont une à la cafétéria du 4ème étage.

e. Questions sur la gestion des déchets électroniques

Les déchets électroniques sont gérés par le prestataire GTS.

Plus précisément, la CGT demande ce qu’il advient des écrans, claviers…mis au rebut mais qui pourraient intéresser des salariés pour leur usage personnel. Le point est pris pour suivi.

f. Granite : Point sur les travaux et l’arrivée de FRANFINANCE. Comment est-il possible que des salariés de FRANFINANCE se trouvent dans des locaux en travaux (G06 à G09) alors que les ascenseurs ne fonctionnaient pas ?

L’emménagement de FRANFINANCE sur les étages G06 à G09 s’est fait en 2 phases pendant les week-end des 18-19 janvier et 25-26 janvier derniers. Pour se faire, les ascenseurs ne marquaient plus l’arrêt à ces étages.

Les salariés de FRANFINANCE présents le 16 janvier étaient venus pour faire des tests de connexion.

g. Y a-t-il une information des salariés lors des tests de groupe électrogènes ?

IMM nous informe que les groupes électrogènes sont testés réglementairement une fois par mois pour Granite, Alicante et Chassagne qui sont des IGH. (Immeubles de Grande Hauteur). Basalte n’est pas soumis aux mêmes contraintes n’étant pas un IGH.

Sur les TAC, les tests se font chaque 2ème mardi du mois de 8h à 10h. Il n’y aurait pas d’impact en termes de coupure d’électricité.

Néanmoins, pour des raisons de santé, la CGT demande que ces tests soient faits en dehors des jours de forte affluence et que les salariés en soient informés.

 

Questions diverses IMM

  • Le sèche-parapluies bientôt de retour ! Le test qui s’est déroulé aux TAC a été concluant. Le temps que SG et son prestataire se mettent d’accord, le sèche-parapluies sera réinstallé. Son usage sera étendu aux autres immeubles.
  • Les portes tournantes centrales des TAC sont condamnées non pas pour maintenance mais pour éviter d’accentuer le courant d’air existant entre Granite et l’entrée des TAC pendant les périodes de froid.
  • La CGT interpelle la direction sur la libération de A27 afin de savoir quelle entité viendra s’installer, les impacts que cela peut engendrer en termes de « surbooking » sur certains étages suite à la réorganisation d’équipes, les « All Day In». A ce jour, la Direction ignore qui viendra au A27.
  • Les mouvements de services, d’équipes étant trop nombreux et difficiles à suivre sur Basalte, la CGT demande que les plans de coupe soient mis à disposition des élus sur une périodicité plus importante que l’annuelle initialement prévue.

 

6) Questions diverses

a. Quelle est la formation des agents de sécurité ?

Les agents de sécurité ont une formation initiale de 11 jours avec recyclage réglementaire chaque 3 ans.  Ils ont aussi une formation de santé sécurité de deux jours, recyclage 2 ans pour une 1 journée.

Questions

Réaménagement des espaces de travail Alicante et libération de l’étage 27 

La CGT s’interroge sur la libération de l’étage A27, suite à un mouvement au sein de SGSS, sans que la SSCT en ait été informée. De plus, nous avons déjà signalé des problèmes de surbooking dans certains étages.

Télétravail renforcé des salariés aidants

La CGT a soulevé des inquiétudes sur les critères unilatéraux imposés par certains interlocuteurs RH pour l’attribution du télétravail renforcé aux salariés aidants.

Ce dispositif est essentiel pour permettre à ceux qui viennent en aide à un proche en perte d’autonomie de concilier leur travail et leurs responsabilités familiales.

Initialement, l’accès au télétravail renforcé reposait sur un certificat médical et un justificatif du lien avec la personne aidée, mais de nouvelles conditions semblent restreindre cet accès.

La CGT demande des éclaircissements sur ces critères et sur les mesures concrètes prévues pour mieux soutenir les salariés aidants, en cohérence avec les engagements du groupe en matière de qualité de vie au travail et de responsabilité sociale.

La direction a pris note des deux points évoqués et reviendra vers nous avec une réponse en suivi.

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