Assemblée Générale du 17 mai 2022 - Consignes de vote CGT |
Pour donner pouvoir à notre représentant, vous pouvez :
Puisque la direction reste sourde à trop de vos revendications, et en particulier en matière de rémunérations et de conditions de travail, c’est le moment d’exprimer votre mécontentement ! vous pouvez le faire directement sur Esalia, ou bien choisir de déléguer vos voix à Emeric Uhring qui portera les suffrages confiés à la CGT lors de l’AG. Nul doute que si vous votez en masse contre la rémunération des membres de la direction ou le renouvellement du mandat d’administrateur du Président de la commission des rémunération, le message sera entendu ! Vous trouverez ci-dessous toutes les recommandations de vote de la CGT SG : Ordre du jour Partie relevant de la compétence d’une Assemblée générale ordinaire
Pas de raison de s’opposer
Pas de raison de s’opposer
Après réduction du capital au 1er février, le dividende sera plutôt de 1,68€ par action que de 1,65€. Nous rappelons notre opposition à la répartition très inégale de la valeur ajoutée au détriment à la fois des salariés et des efforts d’investissement nécessaires à l’accompagnement des chantiers en cours et au développement de l’activité.
Il n’y en a pas, ni de nouvelles ni en cours. Donc pas de raison de s’opposer
En-dehors de toute autre considération, il faut souligner que la rémunération de Lorenzo Bini-Smaghi est considérée comme excessive par rapport aux pratiques communes du marché, que l’on considère les autres entreprises du CAC40 ou bien les autres banques européennes auxquelles la SG se réfère pour justifier les 925000€ qu’il perçoit chaque année.
Si les rémunérations du Directeur général et de ses adjoints sont en ligne avec les pratiques du marché en termes quantitatifs, il n’en reste pas moins que, malgré les remarques de l’administrateur CGT, le Conseil d’administration a le don pour fixer des critères d’évaluation suffisamment souples pour garantir des variables plus sensibles à la hausse qu’à la baisse à nos chers dirigeants. Ce qui n’est pas vraiment le cas pour nous autres simples salariés. Puisque nous restons les oubliés du partage de la valeur ajoutée et que l’inflation a déjà largement fait disparaître les 0,7% d’augmentation généreusement accordés à la moitié d’entre nous, nous demandons à ce que le régime sec soit partagé.
Même si les montants alloués aux administrateurs sont en ligne avec les pratiques du marché, nous leur appliquons le même tarif qu’aux Directeurs généraux : le partage de l’austérité. Peut-être que cela leur donnera envie de s’intéresser d’un peu plus près aux salariés qui font que la banque tourne…
Il s’agit d’une obligation légale de reporting et il semblerait qu’elle soit bien respectée. Pas de raison de s’opposer, mais nous n’avons tout de même pas très envie de voter pour.
Même analyse et mêmes conclusions que pour la résolution 5.
Même analyse et mêmes conclusions que pour la résolution 6. Avec en outre une mention spéciale pour les 100% de réussite affichés sur l’objectif de « bonne gestion des ressources humaines ». Si cela signifie une politique salariale régressive aux niveaux individuel et collectif couplée à une vague de démissions sans précédent et à une multiplication des sous-effectifs, alors on peut comprendre. Sinon…
Même analyse et mêmes conclusions que pour la résolution 6. Et ce n’est pas parce que les absents ont toujours tort.
Même analyse et mêmes conclusions que pour la résolution 6.
Pour rappel, ces personnes régulées sont celles dont les activités professionnelles ont une incidence significative sur le profil de risque de l’entreprise. Elles comprennent au moins : 1° Tous les membres du conseil d'administration, du conseil de surveillance ou de tout autre organe exerçant des fonctions équivalentes de même que les personnes mentionnées à l'article L. 511-13 ; 2° Les membres du personnel chargés de la direction des fonctions de contrôle de l'établissement ou des unités opérationnelles importantes et qui rendent directement des comptes au conseil d'administration, au conseil de surveillance ou à tout autre organe exerçant des fonctions de surveillance équivalentes ou à toute personne mentionnée au 1° ; 3° Les membres du personnel ayant eu droit à une rémunération significative au cours de l'exercice précédent, si les deux conditions suivantes sont respectées : a) Cette rémunération est supérieure ou égale à cinq cent mille euros et est supérieure ou égale à la rémunération moyenne accordée aux membres du conseil d'administration, du conseil de surveillance ou de tout autre organe exerçant des fonctions équivalentes ainsi qu'aux personnes mentionnées à l'article L. 511-13 de l'établissement de crédit ou de la société de financement mentionnés au 1° ; b) Ils exercent leurs activités professionnelles dans une unité opérationnelle importante et ces activités sont de nature à avoir une incidence significative sur le profil de risque de l'unité opérationnelle en question. Dans un établissement bancaire comme la SG, elles sont relativement nombreuses (569 en 2021 pour une enveloppe globale de 366 millions d’euros). Ces rémunérations importantes sont toutefois indispensable pour maintenir des activités de haut niveau sur les marchés sans lesquelles la banque rétrograderait encore en termes de statut et de viabilité à long terme.
Non seulement M. Bini-Smaghi coûte cher (cf. résolutions 5 et 9) mais en outre il est coutumier des prises de positions contraires aux intérêts des salariés, aussi bien en interne que dans les journaux. Nous ne souhaitons donc pas son renouvellement.
Comme indiqué en introduction, M. Contamine est le président du comité des rémunérations. Du point de vue des salariés de la banque, on ne peut pas considérer que la façon dont il exerce ses fonctions soit satisfaisante. Par conséquent, nous préférions qu’il soit remplacé par un administrateur ayant la fibre sociale plus développée.
Parmi les membres du Conseil d’administration, Mme Côté ne se distingue pas par des positions constamment contraires aux intérêts des salariés. Notez qu’elle ne les défend pas non plus et que malheureusement l’administrateur CGT se sent souvent bien seul dans ce rôle. Nous ne nous opposons ni n’approuvons le renouvellement de son mandat.
Résolution indifférente pour la situation des salariés.
Résolution indifférente pour la situation des salariés.
Résolution indifférente pour la situation des salariés.
Résolution indifférente pour la situation des salariés.
Résolution permettant la mise en place d’un plan mondial d’actionnariat salarié (PMAS).
Résolution liée à la mise en œuvre de la politique décrite dans la résolution 13.
Possibilité d’extension de l’attribution d’actions gratuites au-delà de la population régulée. Il faut juste espérer que cela ne profite pas toujours qu’à quelques happy few.
Cette résolution constitue le 2e volet de la distribution aux actionnaires, dont nous contestons l’ampleur à un moment où l’entreprise a plus que jamais besoin de capital pour investir.
Pas de raison de s’opposer
|
AG des actionnaires 2022 : Vos pouvoirs et les consignes CGT - Avant le 16 mai 2022
Écrit par Philippe FOURNILDernier de Philippe FOURNIL
- NAO : Etats des lieux de la pétition et l'appel à soutenir les propositions de l'intersyndicale - 13 Décembre 2024
- Les infos du 11 Décembre 2024 : NAO 2024, People ambition - Boycott des provocs - Baromètre employeur
- Les Echos - Echec des négociations salariales à la Société Générale, 11 décembre 2024
- NAO 2024 : Pétition intersyndicale , à vous de jouer ! 10 décembre 2024
- NAO 2024 : communication intersyndicale - 9 décembre